Mot du Directeur général

Depuis les indépendances, notre posture sur le développement des grandes infrastructures a été celle de « regarder les autres faire », d’attendre qu’ils conçoivent et réalisent pour nous. Et nous, cantonnés dans des rôles secondaires, on a fini par accepter que nous étions incapables.

Aujourd’hui, dans un monde globalisé où l’éducation est ouverte à tous, nous devons plus que par le passé, être « acteur et pilote » de notre développement, tout en restant ouvert sur le monde. Nous devons prendre une place, toute notre place, sur la réalisation des grandes infrastructures qui sont le premier facteur de production et le meilleur moteur de l’économie.

Dans le marché global des « savoir » et des « savoir-faire », les asiatiques sont partis, les sud-américains sont en train de partir, et nous autres africains, qu’il nous plaise, accrochons-nous » !